Aménagement des Rythmes Scolaires (ARS)

La FA-FPT souhaite, que là où les A.R.S. (Aménagement des Rythmes Scolaires) se mettront en place, tous les moyens, humains et financiers, soient mis en place afin que les agents n’aient pas à subir ce nouveau texte de Loi.

Ce qui n’est pour l’instant pas le cas pour la plupart des collectivités où les moyens humains et financiers ne sont pas de la partie.

Nous voulons que le bien-être des enfants soit préservé et qu’ils continuent de s’épanouir et d’évoluer sans subir les tensions ressenties par les collectivités territoriales.

En ce qui concerne la CUS, les horaires seront les suivants :

–> Pour les maternelles :

  • Tous les jours (sauf mercredi) : 8H30 – 12H00  /  14H-15H45
  • Mercredi : 8H30 – 11H30

–> Pour les élémentaires :

  •  Tous les jours(sauf mercredi) : 8H30-12H00 / 14H-15H45 et 15H45-1715 : Activité éducative associative
  • Mercredi : 8H30-11H30
  • Accueil du matin jusqu’à 8H30 : associatif

 

Le décret relatif à l’organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires a été publié le samedi 26 janvier 2013 au Journal Officiel.

Vous pouvez le consulter en cliquant ICI

Voici le Guide pratique – Les nouveaux rythmes à l’école primaire

Mut’est

MutestUne loi de 2007 et un décret de 2011 ont considérablement modifié le contexte de notre protection sociale. Tout cela vous a déjà été expliqué à travers nos divers communiqués. Dans l’immédiat, sachez que suite à l’appel d’offres, deux contrats ont été signés : l’un pour la santé, l’autre pour la prévoyance. Le dossier est soumis en Comité technique du 28 mai et au prochain Conseil de CUS.

Les organisations syndicales se battent depuis le début des négociations « Complémentaire Santé et Prévoyance » pour permettre à tous les collègues (y compris les retraités) de bénéficier d’une convention sociale complémentaire, telle qu’elle existait avant la réforme, réforme que n’ont demandé ni les agents, ni l’employeur.

Après des débats houleux, l’intersyndicale a obtenu des avancées significatives, notamment une forte augmentation de la participation financière de l’employeur. Les syndicats CFDT, CFE-CGC, FA-FPT, SPT 67 et SUD unis depuis le début dans ce combat ont demandé un effort supplémentaire, afin de mettre en place une solidarité intergénérationnelle presque parfaite. Pour les modalités pratiques, vous serez informés et contactés de différentes manières.

COMMUNIQUE DE L’INTERSYNDICALE : LES ELUS DE LA CUS JOUENT LA PROVOCATION !

L’intersyndicale de la Communauté Urbaine est révoltée par les propos tenus par Mme DREYER, élue communautaire chargée des dossiers éducation.

Mercredi 13 mars au soir, sur France 3, elle s’exprimait au sujet de la modification des rythmes scolaires. Au cours du reportage, le journaliste fait état d’un besoin en personnel d’environ 2000 personnes supplémentaires, notamment en raison de l’allongement de la pause méridienne. A cela, Mme DREYER tient les propos suivants :

« Nous avons déjà des vacataires, il faut RENFORCER, il faut un vrai projet avec eux, il faut qu’on leur parle. »

L’irrégularité relevée par la Chambre Régionale des Comptes, à savoir l’usage abusif, organisé et assumé de contractuels et de vacataires et cela en totale illégalité par rapport au statut de la fonction publique n’est déjà plus qu’un vieux souvenir pour des élus qui répètent inlassablement aux médias que le coup de force contre les acquis sociaux des agents de la CUS est uniquement motivé par la volonté de se mettre en conformité avec la loi.

Alors que la CRC et les syndicats demandent justement la régularisation de la situation de ces agents précaires qui ont suffisamment souffert dans le cadre de ce détournement assumé de la loi, les élus de la CUS affichent publiquement leur volonté de NE PAS APPLIQUER LA LOI et même de renforcer le recours aux emplois précaires.

C’est une honte pour une collectivité qui s’affiche volontiers « progressiste ».

C’est une véritable provocation face aux syndicats qui plus que jamais appellent TOUS les agents de la CUS à une mobilisation puissante le 21 mars prochain.

Pour l’intersyndical CFDT-CFTC-CGT-FAFPT-FO-SPT67-SUD-UNSA de la Communauté Urbaine de Strasbourg

AGENTS DE LA CUS : C’EST LE MOMENT DE VOUS FAIRE ENTENDRE !

La presse et divers médias se sont empressés d’emboîter le pas aux manipulateurs d’opinion publique pour caricaturer les agents de la CUS tant dans leur engagement quotidien au sein de la collectivité que dans leur sens du service public. Cette volonté de dénigrement masque mal les véritables enjeux mis à jour dans le rapport de la CRC. Montrez que vous n’êtes pas dupes de ce mauvais jeu de rôles en manifestant votre mécontentement sur le parvis du centre administratif, parc de l’Etoile, jeudi 21 mars 2013 entre 12 h et 14 h.

Vous pouvez télécharger l’appel à la manifestation de l’intersyndicale CUS ici

CONFERENCE SOCIALE : COMMUNIQUE DE L’INTERSYNDICALE

Les 9 organisations syndicales de la CUS se sont réunies ce jour pour faire le bilan de la conférence sociale.

Elles s’étonnent tout d’abord que les élus se soient félicités dans leurs communications aux agents et à la presse de la bonne ambiance dans laquelle se seraient passés les débats.

Ils omettent ainsi de faire part de l’indignation et de la colère des syndicats devant les chiffres faramineux révélés par la Chambre Régionale des Comptes (CRC) en termes de régime indemnitaire pour une poignée infime de cadres supérieurs de la collectivité alors que dans le même temps il est proposé aux agents de catégorie B et C une revalorisation de 8 euros environ par mois. Un véritable mépris quand on sait que le vice président chargé des affaires du personnel a, dans son discours d’introduction, lié la revalorisation du régime indemnitaire des agents à la considération que leur devait la collectivité. Nous demandons que sa considération aille au-delà.

L’intersyndicale se dit révoltée par la faiblesse des propositions faites en termes de déprécarisation des agents vacataires et contractuels abusivement utilisés durant plus d’une décennie par la collectivité. En effet, les syndicats comme la CRC rappellent que la CUS est hors la loi en la matière et que l’inconsistance de ses propositions d’intégration statutaire des agents dénote du leitmotiv du vice président, à savoir « la loi rien que la loi, toute la loi ».

Les syndicats réclament l’intégration pure et simple de tous ces agents exploités dans des conditions précaires et font de cette revendication un préalable à une ouverture réelle de négociations.

En ce qui concerne le temps de travail, les syndicats exigent le maintien en vigueur des différentes délibérations prises par la CUS en son temps et qui ne font l’objet d’aucune injonction de la part de la CRC.

Un préavis de grève sera déposé pour le 21 mars de 11 heures à 15 heures. Une première manifestation sera organisée à partir de midi jusqu’à 14 heures devant le centre administratif.

L’ensemble des agents, toutes catégories confondues est invité à participer à ce mouvement, l’occasion pour eux de réagir aux propos mensongers tenus à leur encontre.

L’intersyndicale CFDT-CFTC-CGT-FAFPT-FO-SPT67-SUD-UNSA de la Communauté Urbaine de Strasbourg,

LA CRC : OUTIL DE TRANSPARENCE FINANCIERE OU OUTIL DE COERCITION SOCIALE ?

La définition donnée au chapitre « l’examen de gestion » de Wikipédia relatif aux chambres régionales des comptes précise « les chambres n’ont pas à apprécier l’opportunité des choix politiques des élus mais la sincérité des comptes, l’équilibre financier des opérations et des gestions, l’économie des moyens mis en œuvre et leur efficacité, c’est-à-dire la comparaison des moyens avec les résultats obtenus. Elles peuvent ainsi être conduites à procéder à une évaluation des politiques publiques locales. »

Chacune et chacun a pu prendre la mesure des observations formulées en feuilletant le rapport de la CRC présenté en Conseil de CUS le 15 février dernier. Certains se sont même précipités deux jours avant sa publication, vers un des principaux média local pour jeter sans vergogne en pâture aux citoyens avides du sang des fonctionnaires, une terrifiante batterie de chiffres sans aucun commentaire pertinent, emboîtant ainsi le pas à d’illustres prédécesseurs champions de la casse (ou de la vente, mais seulement pour les services les plus lucratifs !) du service public !

Ces personnes mesurent-elles l’impact à la fois dans l’esprit de la majorité des agents de la CUS qui exercent consciencieusement leur fonction, parfois dans des conditions difficiles, et la rivalité engendrée entre professionnels du public et du privé ? A moins que ce soit l’objectif visé. Un vieil adage ne dit-il pas : diviser pour mieux régner ! A lire les commentaires au bas de l’article « La CUS taille dans le vif » du même média local, c’est gagné !

Faudra-t-il bientôt que les agents de salubrité ou des espaces verts renoncent à porter leur vêtement de travail au logo de la CUS pour ne pas se faire invectiver publiquement comme un « j’en foutre » ou un « privilégié de première ». Faudra-t-il éviter aux cadres et techniciens de la CUS de présenter leur carte de visite pour ne pas avoir à subir commentaires insultants et autres quolibets flatteurs lors des réunions de travail, voire des rencontres amicales ?

A quoi rime cette médiatisation à outrance mobilisant journalistes de tous bords, convaincus d’avoir déterré le Saint Graal au point de confondre CORIOWEB et CIVI-RH, traitements bruts et nets, congés annuels et autorisations d’absence, moyennes mensuelles et moyennes annuelles …. A qui profite in fine la diffusion en boucle du rapport de la CRC ?

Nous pouvons nous interroger légitimement : sommes-nous encore dans l’évaluation des politiques publiques ou dans la conduite des politiques publiques ? La nuance est difficile à saisir tant les décideurs sont prompts à mettre en œuvre des recommandations de la CRC, mêlant habilement simples observations et injonctions. Quelqu’un a écrit : les chiffres retombent toujours du côté qui permet d’en culpabiliser certains et d’en oublier d’autres.

Il y a aussi plusieurs manières de se servir d’un outil tel un couteau : on peut s’en servir pour partager un gâteau ou « tailler dans le vif ». On peut aussi se blesser en le saisissant par la lame ! L’avenir nous dira si l’outil a été « productif » ou s’il s’est retourné contre son ou ses manipulateurs !

CONFERENCE SOCIALE CUS : NOUS AVONS EU LA CONFERENCE…NOUS ATTENDONS LE SOCIAL !

L’ensemble des organisations syndicales a entendu les propositions des élus lors de la conférence sociale des 5 et 6 mars annoncée à grand renfort de publicité. L’intersyndicale fait part de ses inquiétudes et de sa déception.
La première journée de réunion portant sur le temps du travail et la précarité de nombreux agents, consistait à donner suite aux observations du rapport de la Chambre régionale des comptes. Elle s’est soldée par une confiscation pure et simple d’acquis sociaux obtenus de haute lutte par les agents de la Communauté urbaine de Strasbourg.
La seconde journée, qui devait porter sur la question du pouvoir d’achat des agents et qui était prévue de longue date (bien en amont du Rapport de la Chambre régionale des comptes) n’a débouché que sur des propositions minimalistes dans un contexte morose.
Les différentes organisations syndicales s’en retournent, dès lors, vers leurs instances dirigeantes. L’intersyndicale se réunira au grand complet le lundi 11 mars après midi pour un échange plus approfondi concernant le bilan de ces deux journées et pour donner, le cas échéant, une suite syndicale à ce qu’elle considère comme relevant d’un recul social historique.
L’intersyndicale communiquera plus largement avec les médias à l’issue de cette réunion.

JOUR DE CARENCE : APRES L’ABROGATION, L’ANNULATION ?

C’est dans un contexte un peu terne et sur fond de crise économique que le Gouvernement vient
d’annoncer sa décision d’abroger le dispositif permettant d’appliquer le principe d’un jour de carence aux agents de la Fonction publique.
Cette décision sera traduite par une mesure législative dans le prochain projet de loi de finances.
La FA-FPT a tout d’abord tenu à exprimer sa satisfaction, au travers d’un courrier adressé à Mme la Ministre, suite à cette décision qui s’appuie pour partie sur les arguments développés depuis plus d’un an par notre Fédération, seule organisation syndicale à avoir entamé une procédure auprès du Conseil d’Etat.

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ABROGATION DE LA JOURNEE DE CARENCE : REPONSE DE LA FA FPT

Par courrier en date du 20 février vous m’informez de la décision du Gouvernement d’abroger le dispositif de la journée de carence applicable dans les trois versants de la Fonction publique.
Je tenais, au nom de l’ensemble des agents de la Fonction publique que nous représentons, à vous remercier pour votre détermination à soutenir en partie la position défendue de longue date par la FA-FPT, y compris devant le Conseil d’État, position visant à dénoncer le caractère injuste voire illégal de la mise en place du jour de carence et d’obtenir in fine son annulation.

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ABROGATION DE LA JOURNEE DE CARENCE : SUCCES DE LA FA FPT

Dans un courrier adressé au président de la FA FPT, Bruno COLLIGNON, Marylise LEBRANCHU, ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique, annonce l’abrogation de la journée de carence dans le cadre de la prochaine loi des Finances.

Cette nouvelle signe un grand succès pour la FA FPT qui s’est largement engagée contre cette mesure qui ne nous semblait par être le meilleur moyen de diminuer l’absentéisme dans la Fonction Publique, loin s’en faut ! Faut-il rappeler que la FA FPT était la seule organisation syndicale à déposer un recours au Conseil d’Etat contre cette mesure !

Cette nouvelle est aussi source de grand soulagement pour bon nombre de nos collègues qui se voyaient inutilement et injustement pénalisés par le simple fait d’être employés dans la Fonction Publique. La ministre reconnaît que le dispositif plaçait « les fonctionnaires, en particulier ceux des catégories les plus modestes, dans une situation défavorable par rapport à la très grande majorité des salariés qui sont couverts par leur employeur ou par un régime de protection sociale complémentaire obligatoire. »

Vous pouvez prendre connaissance de ce courrier ici